L’information est partout. Elle est disponible au point d’en écœurer
l’individu. On parle d’infobésité. Pourtant on pourrait penser la
connaissance comme le fait d’acquérir de l’information. L’homme
transforme alors l’information en histoire, une histoire auquelle il
participe activement.
L’information est partout. Elle est disponible au point d’en écœurer
l’individu. On parle d’infobésité dont les symptômes sont l’absence de
perspectives, l’info immédiate. Une information pousse l’autre,
l’actualité de l’actualité assure de capter l’attention immédiate sans
perspective particulière. La connaissance est le remède. Il s’agit de
construire du sens, de faire sens à l’information. Cette problématique
majeure bat en brèche l’idée ancienne que l’information doit être vraie.
La véracité perd de plus en plus de son intérêt au profit du sens que
peut apporter la connaissance comme lecture du monde. Il ne s’agit pas
tant de développer une connaissance vérité au sens du mythe de la
caverne comme but plus ou moins fantasmagorique, que de présenter une
connaissance au marteau comme le proposait Frederick Nietzche.
C’est-à-dire une connaissance qui raisonne, qui fait sens à son énoncé.
La connaissance devient affective voir pulsionnelle.lire l'article complet sur Indice RH